Vendredi 12 octobre, c'est la conférence de reprise pour la saison du CPN le Colibri , le thème est sur le compostage.
29 personnes sont présentes à la maison des associations.
Les déchets organiques, qui peuvent faire un excellent compost, constituent un tiers de nos poubelles en moyenne. Devant la grande difficulté à traiter d'énormes masses en déchetterie, le SYCTOM de Bièvre (Isère) agit pour former les habitants à la fabrication de compost plutôt que de continuer à mettre ces déchets à la poubelle. Blandine de Montmorrillon est venue nous éclairer sur le sujet.
Le compostage est un processus de dégradation naturelle de ces déchets par la microfaune, un peu comme dans les sous-bois ; cela permet d'enrichir gratuitement notre sol.
Millepattes, cloportes, escargots, vers divers, scarabées, bactéries et autres font cette transformation, miraculeuse pour qui ne l'a jamais vue. Quelques règles à respecter pour un résultat probant : alterner déchets carbonés (secs, bruns, comme l'herbe sèche, les feuilles mortes) et les déchets azotés (verts, humides comme les épluchures et autres déchets de cuisine), couper les gros morceaux et bien mélanger à chaque apport. Commencé au printemps, le tas de compost, installé plutôt à l'ombre pour éviter le dessèchement, est mûr environ 6 mois plus tard. On peut l’épandre sur le sol sans l'enfouir en profondeur, et le recouvrir d'un paillis.
texte de Marie-Claude.
Vendredi 12 octobre, c'est la conférence de reprise pour la saison du CPN le Colibri , le thème est sur le compostage.
29 personnes sont présentes à la maison des associations.
Les déchets organiques, qui peuvent faire un excellent compost, constituent un tiers de nos poubelles en moyenne. Devant la grande difficulté à traiter d'énormes masses en déchetterie, le SYCTOM de Bièvre (Isère) agit pour former les habitants à la fabrication de compost plutôt que de continuer à mettre ces déchets à la poubelle. Blandine de Montmorrillon est venue nous éclairer sur le sujet.
Le compostage est un processus de dégradation naturelle de ces déchets par la microfaune, un peu comme dans les sous-bois ; cela permet d'enrichir gratuitement notre sol.
Millepattes, cloportes, escargots, vers divers, scarabées, bactéries et autres font cette transformation, miraculeuse pour qui ne l'a jamais vue. Quelques règles à respecter pour un résultat probant : alterner déchets carbonés (secs, bruns, comme l'herbe sèche, les feuilles mortes) et les déchets azotés (verts, humides comme les épluchures et autres déchets de cuisine), couper les gros morceaux et bien mélanger à chaque apport. Commencé au printemps, le tas de compost, installé plutôt à l'ombre pour éviter le dessèchement, est mûr environ 6 mois plus tard. On peut l’épandre sur le sol sans l'enfouir en profondeur, et le recouvrir d'un paillis.
texte de Marie-Claude.
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